Dyson dévoile son enquête et le test de la qualité de l'air de Paris réalisé avec Laury Thilleman
À l’occasion de la journée nationale de la qualité de l’air, Dyson dévoile son projet d’analyse de la pollution de l’air grâce à une technologie portable, un sac à dos doté de capteurs intelligents. Pour cette 6ème édition, Dyson s’est associé à son partenaire Laury Thilleman pour sensibiliser le grand public aux problèmes liés à la qualité de l’air.
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Notre test de la qualité de l'air dans les rues de Paris
14 participants à travers 14 pays du monde entier ont participé à ce projet. En France, celui-ci a été mené avec la journaliste et « working girl », Laury Thilleman, partenaire Dyson depuis maintenant 2 ans. En skateboard ou à vélo, Laury a traversé les rues de Paris en portant le sac à dos Dyson pour évaluer instantanément son exposition à la pollution de l'air.
« C'était assez inédit de se dire que je participais à une expérience déjà unique en France, que j'étais la seule à avoir ce sac à dos qui est en plus de ça est équipé des mêmes capteurs que ceux que l’on retrouve dans les purificateurs d'air Dyson » déclare Laury Thilleman.
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Le sac à dos Dyson pour tester la qualité de l'air
Grâce à ses capteurs embarqués, à sa batterie, à son GPS et en retravaillant la technologie de détection existante utilisée dans les purificateurs d’air Dyson, les ingénieurs ont conçu un dispositif de suivi de l’air portatif plus petit, plus léger et plus mobile, capable de capter des émissions atmosphériques de PM2.5, PM10, de composés organiques volatils (COV) et de dioxyde d’azote (NO2).
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« Nos ingénieurs ont mis au point des capteurs intelligents en utilisant des connaissances issues d'années d'expérience et de recherche dans le domaine des technologies de purification de l'air. En utilisant notre algorithme unique pour traiter des rapports détaillés sur l'exposition à la pollution de l'air, cette technologie innovante nous permet de surveiller la qualité de l'air à l'intérieur, à l'extérieur et en déplacement. De plus, tout cela tient dans un sac à dos. »
Alex Knox, vice-président de la Catégorie Traitement de l’air Dyson
Le travail d’investigation et de collecte des données
Laury Thilleman a porté le sac à dos afin de collecter des données sur la qualité de l’air lors de ses déplacements : trajets du quotidien, activités physiques en plein air ou encore déplacements professionnels et personnels. En parallèle, elle a rempli un carnet de bord précis avec des informations complémentaires comme sa géolocalisation, son parcours, les distances ou encore les conditions météorologiques afin de donner aux ingénieurs Dyson tous les éléments spécifiques à son activité pour procéder à une analyse détaillée. Dans le but de garantir la précision des données extérieures du capteur situé dans le sac à dos, les relevés des stations d'observations et de mesures de l'air de Paris sont collectés pour corroborer les résultats.
En parallèle, Dyson a souhaité étudier la qualité de l’air intérieur de chez Laury Thilleman grâce à une analyse du filtre extrait de son purificateur d’air Dyson Pure Hot+Cool Cryptomic™. Les données de la qualité de l’air extérieur et intérieur ont permis d’obtenir une analyse complète des polluants auxquels Laury Thilleman est exposée chaque jour.
Carte du trajet de Laury Thilleman: combinaison des données récoltées les 15, 16,17, 18, 19, 26 et 29 mai 2020.
Une pollution de l’air extérieur notable lors de trajets en skateboard
Les résultats des données de Laury ont montré une augmentation des niveaux de NO2 lors de ses déplacements en skateboard, un polluant souvent associé aux émissions des véhicules. Une concentration bien plus élevée de NO2 a été détecté aux alentours des gares due à une fréquentation et une circulation plus dense dans ces quartiers de Paris. Ces niveaux et sources de pollution diminuaient lorsque Laury se déplaçait aux alentours des espaces verts parisiens, au bord du canal de l’Ourcq à la Villette. Les relevés ont d’ailleurs montré que les niveaux de concentration de pollution et les sources de polluants diffèrent d’une rue à l’autre dans un périmètre réduit.
« Ce nouveau compagnon de voyage que j'embarque partout, sur mon vélo, sur mon skateboard, à pied dans Paris, allait devenir un peu mon meilleur un allié au fil des semaines pour pouvoir analyser, comparer et pourquoi pas améliorer mon mode de vie, en étant consciente de tous les paramètres qui m'entourent niveau pollution. ». Laury Thilleman, Ambassadrice Dyson
La pollution ne s’arrête pas à notre palier de porte
Le purificateur d’air Dyson Pure Hot+Cool Cryptomic™ installé dans le salon de notre participante a relevé une augmentation des composés organiques volatils (COV) en matinée, peut être due à l’utilisation de produits cosmétiques ou de produits d’entretien [1]. On observe également une concentration plus élevée des niveaux de PM2.5 sur l’heure des déjeuners en début d’après-midi, peut être causées par le processus de combustion de cuisson lors de la préparation des repas.
Dorénavant informée des conclusions des relevés générés sur son exposition personnelle à pollution de l’air, Laury déclare « Il y a encore des choses à améliorer, ne serait-ce que des gestes simples comme aérer régulièrement son intérieur. Régler ses purificateurs en mode auto, afin de pouvoir alléger les polluants, de types poussières, allergènes, les bougies lorsque l'on en a chez soi, lorsqu'on fait la cuisine tard le soir comme c'est notre cas. On s'améliore au quotidien et je pense que j'ai encore pleins de petites choses et de petits curseurs à intensifier. »
- Graphique « Les tendances de pollution extérieure » : NO2 et COV – données récoltées le 26 mai 2020 de 14h à 19h
- Graphique « Les tendances de pollution intérieure » : données récoltées entre le 3 juin 2020 et le 16 juillet 2020
La journée nationale de la qualité de l’air, un événement de sensibilisation
Créée en 2015, la journée nationale de la qualité de l’air a pour objectif de sensibiliser le grand public à l’importance de respirer un air de bonne qualité. Dyson prend à nouveau la parole pour partager ses connaissances en matière de pollution
Le saviez-vous ?
· L’air intérieur que nous respirons peut-être jusqu’à 5 fois plus pollué que l’air extérieur[2].
· La pollution intérieure peut provenir de l’extérieur notamment lorsque nous ouvrons nos fenêtres ou nos portes, mais elle peut également résulter des activités quotidiennes réalisées chez soi (cuisinières à gaz et fumées de cuisson ou bougies, appareils ménagers, produits d’entretien ou de nettoyage, etc.)
· La chambre à coucher peut être un espace pollué et les sources potentielles proviennent de la pollution urbaine ou des COV (Composés Organiques Volatils).
· Les logements modernes étant mieux isolés pour respecter les normes d’isolation, les polluants peuvent être piégés à l’intérieur et la circulation de l’air peut être affectée.
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Pourtant nous passons jusqu’à 90%[3] du temps à l’intérieur
De nos jours nous passons jusqu’à 90% de notre temps à l’intérieur, que ce soit pour travailler, manger, faire de l’exercice, dormir ou jouer[4].
Lorsque nous parlons de pollution, nous parlons souvent de la pollution extérieure. Mais à l’intérieur, l’air n’est pas ce qu’on pourrait croire. Outre la pollution venant de l’extérieur lorsque nous ouvrons les portes ou les fenêtres, les activités quotidiennes et les objets domestiques peuvent également polluer l’air.
Dans la chambre à coucher où nous pouvons passer en moyenne un tiers de notre journée, il est par exemple possible de trouver des COV (composés organiques volatils) provenant de produits de soins personnels tels que des extraits de cosmétiques, de laque pour cheveux ou encore du parfum et des bougies parfumées. Dans la cuisine et dans les salons, les produits de nettoyage émettent des également des COV et sont issus des plaques de cuisson à gaz et autres procédés de cuisson libèrent des particules, des émanations et des odeurs ; et les tapis peuvent engendrer poussière et allergènes.
Contact Presse
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Email: fr.communication@dyson.com
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[1] Les COV désignent des milliers de produits chimiques différents, dont beaucoup se trouvent dans les produits ménagers courants ainsi que dans les produits d’hygiène personnel.
[2] European Respiratory Journal Octobre 2012 et RCP Working Party Report 2016
[3] Selon l’étude réalisée par World Health Organization Regional for Europe 2010. A lire ici
[4] Klepeis NE, Nelson WC, Ott WR, et al. The National Human Activity Pattern Survey (NHAPS): a resource for assessing exposure to environmental pollutants. J Expo Anal Environ Epidemiol 2001;11:231-52.